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( LifeSiteNews ) - À présent, vous avez tous entendu la nouvelle de l'enquête du Vatican sur l'évêque Joseph Strickland de Tyler Texas, un évêque qui a - du moins pour les catholiques orthodoxes en Amérique - endossé le rôle de l'évêque Fulton Sheen en tant qu '"évêque de l'Amérique". .”

Pour ceux qui ont été au courant du règne de terreur du pape François au Vatican et ont vu, par exemple, l'annulation du cardinal Raymond Burke, l'évitement du cardinal Joseph Zen et la réprimande choquante du cardinal Robert Sarah, la nouvelle de cette enquête dans Bishop Strickland n'est pas surprenant et certainement plein d'appréhension.

Les dernières nouvelles que nous avons en ce moment sur la phase de visite, où le Vatican avait l'évêque Dennis Sullivan de Camden, New Jersey, et l'ancien évêque Gerald Kicanas de Tucson, Arizona, c'est que la partie de l'entretien est terminée.

Afin de comprendre la gravité de cette situation, vous devez connaître Mgr Kicanas, un ancien évêque auxiliaire de Chicago.

Kicanas était à la tête de Catholic Relief Services (CRS) en 2012, lorsqu'ils finançaient des groupes pro-avortement. Lorsque LifeSite et American Life League ont souligné que CRS finançait de grands groupes pro-avortement, comme Population Services International , qui commercialise des médicaments abortifs dans les pays en développement.

Il a défendu la subvention de 2,7 millions de dollars au géant de l'avortement, affirmant que c'était pour la prévention du paludisme, a critiqué LifeSite pour "désinformation" et a même coupé un important contrat d'impression CRS avec le mari du chef de l'American Life League en représailles.

Lors de la conférence des évêques américains en 2018, Mgr Kicanas faisait partie d'un groupe de rats d'évêques et de cardinaux souhaitant modifier le guide électoral des évêques afin de minimiser l'importance de l'avortement en tant que préoccupation principale. Se joindre à Kicanas était un who's who des évêques les plus infidèles d'Amérique, y compris l'évêque (maintenant cardinal) Robert McElroy de San Diego, l'évêque John Stowe de Lexington, Kentucky, et bien sûr le cardinal de Chicago Blase Cupich.

Mais Kicanas était une mauvaise nouvelle bien avant cela. Déjà en 2006, les pro-vie de son diocèse de Tucson s'inquiétaient de son soutien aux politiciens pro-avortement.

Et rappelez-vous, en 2010, il était prêt à devenir président de l'USCCB. Le Rainbow Sash Movement, qui pousse les homosexuels, l'a soutenu. Kicanas était vice-président, et il était de coutume de passer de vice-président à président. Mais il était si controversé que le cardinal Timothy Dolan a été nommé à sa place.

Cependant, l'histoire de Kicanas sur les abus sexuels sacerdotaux était probablement le dernier clou dans le cercueil de son échec à être approuvé pour prendre la première place de l'USCCB. Avant de devenir évêque de Tucson, Kicanas a été recteur du Mundelein Seminary à Chicago. Pendant son séjour là-bas, il a permis au futur agresseur d'enfants, le père Daniel McCormick, d'être ordonné malgré des allégations d'inconduite sexuelle.

Mgr Kicanas s'est récemment défendu contre les allégations d'actes répréhensibles en disant : "Je n'ai jamais reçu d'allégations, de rapports ou de préoccupations concernant McCormack pendant ses années de séminaire à Mundelein qui impliquaient des abus sexuels sur qui que ce soit".

Le National Catholic Register a souligné que Kicanas était au moins au courant que McCormick se livrait à des actes homosexuels consensuels alors qu'il était en état d'ébriété, sinon de véritables abus illégaux. Selon l' article du NCR , Kicanas a commenté ces premières "expériences" en disant : "L'évaluation a indiqué que la nature des expériences qu'il avait relatées était expérimentale et développementale, bien qu'elle ait indiqué que la consommation d'alcool pouvait être une préoccupation."

C'est lui que le Pape François a envoyé pour enquêter sur Mgr Strickland !

Comme la plupart des hommes bons, les bons évêques sont des gens très confiants. Et donc, ils ne soupçonnent pas de mauvaise intention chez ceux qu'ils rencontrent. Cependant, parmi ceux qui vivent des vies corrompues, la suspicion est le nom du jeu. Ils ont tendance à se méfier de tout le monde car eux-mêmes ne sont pas dignes de confiance. Donc, quand vous avez un homme comme l'évêque Kicanas qui enquête sur l'évêque Strickland, c'est très préoccupant.

Bien que Mgr Strickland puisse croire que ce sera juste, je trouve cela difficile à croire. Je pense plutôt que, d'après mon expérience de regarder ces choses se dérouler au cours des 25 dernières années, les mauvais évêques conspirent contre les bons pour les faire supprimer.

Que le pape François s'en prenne à Mgr Strickland n'est pas une nouvelle. Il y a un mois, Terry Barber de Virgin Most Powerful Radio a révélé que le représentant papal en Amérique, Christophe Pierre, avait agité son doigt vers Mgr Strickland lors de la conférence des évêques il y a des années.

L'évêque Strickland est un héros. Il ne représente pas seulement la vie et la famille, la foi et la liberté avec dignité et un profond amour pour le Christ, il est courageux même quand il sait que cela peut lui coûter cher. C'est ce qui l'a vu venir à Los Angeles pour défendre la dignité des religieuses et prier pour la délivrance de l'esprit anti-chrétien envahissant l'Amérique. Son grand amour pour les fidèles et pour le Pape François est ce qui l'a amené à corriger publiquement le Pape, en disant qu'« il est temps pour moi de dire que je rejette son programme de saper le Dépôt de la Foi. Suivez Jésus.

Nous devons donc prier pour l'évêque Strickland maintenant. Veuillez vous joindre à la prière pour lui, au jeûne pour lui, et si vous souhaitez le faire avec nous, nous remettrons bientôt à Mgr Strickland une promesse de prière. Veuillez cliquer ici ou sur le lien ci-dessous pour ajouter votre nom à l'engagement de prière et le partager avec tous ceux qui, selon vous, pourraient aimer se joindre.

Pour LifeSiteNews, il s'agit de John-Henry Westen.

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