Le Terrorisme pastoral

Le Terrorisme pastoral

D'où vient Bergoglio ? Ses antécédents idéologiques.

 

 

Mais d'où vient Bergoglio ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Notre article sur « L'indiétrisme » du « pape », (16-1-2024), se terminait par deux questions : Pourquoi le « pape » a-t-il accepté Fiducia supplicans et pourquoi a-t-il relevé les Africains de l'exécution de cette injonction universelle ? Un évêque espagnol , Mgr Cantero de Almeria a decidé d'obéir pour une raison surprenante : selon lui le pape a une quantité de conseillers ( un monton de asesores) et il veut aller de l'avant alors il faut le suivre.

C'est un peu court !

Pour répondre à nos questions, il faut savoir de façon précise qui est le « pape ». Mais pour le savoir, il ne faut pas se contenter des réactions épidermiques de journalistes ignorants. Chez cet homme imbu de pouvoir, tout est calculé.

Il a tout connu depuis le 31 juillet 1973, date à laquelle il est devenu provincial des Jésuites d'Argentine à l'âge de 36 ans , fait unique dans les anales de Compagnie de Jésus. Et si, en 1990, nous l'avons vu prier et faire prier pour que la loi sur le mariage homosexuel ne soit pas votée au parlement argentin, il n'était pas insincère.

 

Un article du journal Le Monde du 8 décembre 2015, va nous aider à comprendre ce personnage venu du Sud. «  Pape François : conservateur en Argentine, progressiste au Vatican : qui est-il vraiment , politique, pragmatique ? »

 

Cette présentation sommairement dialectique échauffe l'esprit du lecteur ! Malheureusement ce progressisme est des plus classiques et masque la réalité argentine beaucoup plus complexe..

 

Si le pape accepte Fiducia c'est pour des raisons très précises car il adhère d'une façon inconditionnelle et depuis longtemps à ce qu'il vient d'appeler dans sa réforme des études théologiques : la théologie contextuelle. Tout ce que nous voyons se dérouler sous nos yeux ce sont les formes nouvelles de la théologie issue du modernisme de Maurice Blondel et autres, qui se sont déployées grâce à la formidable impulsion donnée par le père jésuite, Juan Carlos Scannone, professeur de Bergoglio.

En même temps que l'archevêque Bergoglio se façonnait une réputation de pauvre parmi les pauvres et s'appliquait à suivre le code du Pacte des Catacombes, en même temps qu'il bataillait contre le mariage homo et qu'il affirmait que l'avortement tue les enfants à naître,... il buvait à grands traits la doctrine politico-religieuse de Scannone et celle des théologiens européens qui envahissaient le continent Sud Américain.

 

Nous ne pouvons pas traiter cet immense sujet dans le cadre d'un article. Le lecteur voudra bien se satisfaire de quelques références qu'il peut vérifier à loisir.

Le monde dans lequel Bergoglio vit et commence sa carrière est un monde complexe. Son tempérament, décrit par Le Monde dans l’article cité ci-dessus ou par J.M. Guénois, dans son livre -Jusqu'où ira François- (2014) est celui d'un homme autoritaire. Aujourd'hui, on peut dire dictatorial. (voir la collection de ses 73 motu proprio en 11 ans de règne ), c'est un record absolu !

 

 

L' Argentine catholique qui n'existe plus

 

L'Argentine de 1934 celle du Congrès International Eucharistique de Buenos Aires présidé par le futur pape Pie XII, le cardinal Eugenio Pacelli, s'est effondrée.

 

Le général Peron a été porté au pouvoir en 1945 par les syndicats et une grande partie du clergé. Celui-ci enthousiasmé pour les mesures sociales, déchante très rapidement. Il a oublié que le modèle politique du général est celui de Mussolini.

Peron a passé quelques mois au début de la seconde guerre mondiale comme attaché militaire en Italie. Il en a appris l'organisation civique : contrôle de l'enseignement, de la jeunesse et de la vie sociale..

Il instaure après sa prise de pouvoir une éducation nationale laïque, l'encadrement de la jeunesse, la loi sur le divorce et la légalisation de la prostitution.

Son opposition au catholicisme est de plus en plus flagrante. Il tombera en 1955 après un violent affrontement avec le clergé de Buenos Aires qui entraînera un soulèvement … et son excommunication... après voir chassé le nonce apostolique et un prélat argentin...mis de force dans un avion dans un vol direct à destination de Rome.

A cette époque l'Argentine est encore catholique. Nous le constaterons en 1966 lors d'un Congrès international à Buenos Aires avec processions publiques du Saint Sacrement à Rosario et intervention du remarquable évêque urugayen de Salto, Mgr Alfredo Viola.

L'explosion est cependant proche car le général Ongania qui a pris le pouvoir en 1966 est certes catholique, mais il appréhende mal la situation politique et sociale. Notre rencontre avec des étudiants à Cordoba est délicate car je suis vraiment trop catholique au milieu de l'effervescence universitaire qui se confirmera à Buenos Aires.

Après une répression sanglante à Cordoba , le « Cordobazo » en 1969, le général Ongania sera renversé en 1970.

Mais au-delà de ces changements de pouvoirs, l'empreinte péroniste va subsister longtemps et un « catholicisme péroniste » va naître et prospérer marqué par l'adhésion inconditionnelle au catholicisme conciliaire. Lorsque le père Bergoglio devient provincial des jésuites argentins en 1973, il traite directement avec les responsables péronistes et enseigne dés 1974, trois des fameux quatre « principes ».

 

 

A cette date on peut dire qu'il y a en Argentine une Église à trois visages :

 

- une église fidèle à l'enseignement catholique, aujourd'hui un petit reste.

Bergoglio est tout à fait fidèle au mariage catholique et il s'oppose à l'avortement ... ce qui donne raison à l'article du Monde.

  • une « église » péroniste et conciliaire apparentée directement à la théologie de la libération

  • une église résolument moderniste représentée par la théologie du peuple version argentine de la théologie de la libération appelée aujourd'hui théologie contextuelle : importée sur le continent sud-américain principalement par les Belges et les Français dont l'organe le plus virulent est le Mouvement des prêtres pour le Tiers Monde (créé par Dom Helder Camara....qui a été un des premiers à recevoir et développer au Brésil l'idéologie de l'Action catholique avec le père Lebret ...financée par la conférence de cardinaux et archevêques français.)

     

Lorsqu'on se mettra à enseigner cette page de l'histoire de l’Église, le paysage actuel et la personnalité du « pape » s'éclaircira ! On trouvera dans mon livre « La conquête du Pouvoir » quelques éléments de cette ascension peu commune !

 

L'artisan principal de cette évolution est le père Juan Carlos Scannone s.j..(JCS) Il a écrit des milliers d'articles, notamment dans la revue Stromata (jésuites argentins) et des dizaines de livres. Il est la référence ultime de tous ceux qui écrivent sur la « théologie contextuelle » qui a cour aujourd'hui dans l’Église, inspirée très directement du modernisme de Maurice Blondel.

Nous citons ci-après des articles phares de ce grand réformateur argentin très supérieur selon nous à tous ceux qui ont existé à ce jour. Luther compris ! C'est lui qui mériterait le titre de Grand Réformateur attribué au « pape » François par son biographe Austin Ivereigh.

 

Les titres d'articles essentiels à la compréhension de cette situation complexe sont totalement ignorés des informateurs officiels. La quasi totalité de cette information primordiale est en espagnol.

 

 

Document N°1

« La théologie du peuple en Argentine : tout à commencé à Petropolis » (2014)

 

 

 

Il s'agit d'une conférence donnée à Rome par JCS à l'université Grégorienne le 28 mars 2014 lors d'un congrés intitulé «  Les racines du pape François. Le Concile Vatican II en Amérique Latine » (Paru dans l'Osservatore Romano le 29 03 2014 ; traduit en portugais pas Moisés Sbardelotto et adapté en espagnol par Roberto Jaramillo).

 

 

 

Extraits et notre commentaire.

« Bien que l'on puisse parler d'une théologie argentine avant le Concile Vatican II, je voudrais fixer mon attention sur celui-ci mais aussi un peu sur la période post- conciliaire. »

« A l'occasion du Concile des experts venant de divers pays latino-américains se sont rencontrés à Rome, parmi lesquels Lucio Gera. Mais une rencontre non moins importante, s'est tenue à la faculté franciscaine de Pétropolis au Brésil en 1964 ». ( voir notre livre page 29 pour le développement sur le continent de l'activité de ce noyau comparable à la première assemblée de Lénine à Saint Pétersbourg en 1917)

 

 

 

Document N°2

« Peuple » et « populaire ». Réalité sociale, pratique pastorale et réflexion théologique en Argentine » 1986 (en français)

Cet article de 18 pages de J.C. Scannone est une synthèse de la dérive théologique initiée et développée en Amérique latine. On y retrouve tous les éléments constitutifs de la théologie contextuelle imposée par Bergoglio à l’Église catholique.en novembre 2023.

I § - Les réalités sociales : « le catholicisme populaire est le fruit d'un métissage hispano- amérindien. »

Cette affirmation est grotesque. »

La légende noire qui impute aux Espagnols des siècles de crimes et d'esclavage ne tient pas face à l'histoire réelle. En 1960 le père Jean Terradas a écrit un livre «  Une chrétienté d'Outre -Mer »  pour dénoncer ce torrent d'affabulations.

Pour ce qui concerne l'Argentine, les franciscains s'installent et développent des bourgades indigènes ou créent des villes : Tucuman, Santiago del Estero, Cordoba, Talavera, Rioja et Salta. Arrivés en 1535 , trois évêchés sont créés : La Plata, 1552, Cordoba, 1570 et Buenos Aires, 1582. Les jésuites apparaissent dans le Tucuman en 1586.

Le richissime dictateur Rosas (300.000 têtes de Bétail et 170 000 hectares, avec une armée personnelle) accorde l'installation des jésuites par décret le 26 août 1836 :

«  Etant venus d'Europe à cette capitale, six religieux de la Compagnie de Jésus, qui ont été reçu par le gouvernement d'une manière toute particulière au grand applaudissement des habitants de ce pays catholique... le gouvernement , considérant que l'occasion est arrivée de rétablir la dite Compagnie si vénérée parmi nous, ...a accordé et décrète que les Jésuites seront placés dans leur ancien collège . Ils y vivront en communauté, conformément à leurs règles ; il y recevront tous les autres individus de la Compagnie qui viendront d'Europe, et ils y ouvriront les classes que le gouvernement voudra bien leur indiquer ». ( Histoire religieuse, politique et littéraire de la Compagnie de Jésus, - J. Crétineau-Joly tome 6 page 316

Cet accord est violé par un édit de suppression de la Compagnie en mars 1843 (ib. page 317), car les jésuites ne soutiennent pas les guerres expansionnistes. Ils partent au Chili et au Brésil. Ils reviendront plus tard après la défaite de Rosas et sa mort en Angleterre.

En Argentine comme dans le reste du continent américain ce ne sont pas les catholiques qui massacrent les indigènes. En Argentine, les guerre d'extermination des indiens au XIX ème siècle n'ont rien à voir avec l’Église catholique ! Au début du XXème, Peron, pas encore général, est envoyé pour mater les ouvriers réduits en esclavage par les entreprises anglaises dans les années 1920.

Les jésuites comme les autres ordres religieux évangélisent et instruisent. Bien avant le Concile, le père jésuite Guillermo Furlong crée l'Académie Nationale d'Histoire de la République Argentine. Dire que l 'Église d'Argentine n'est qu'une Eglise « du peuple » avant le concile est un contre sens historique.

. Le « métissage » de Scannone c'est celui des historiens laïcisés qui écrivent une histoire conforme à leur idéologie.(En 1940 le taux de métissage en Argentine est de 10%. (au Salvador de 75% ,au Mexique de 54%).

La naissance d'un catholicisme populaire, métissé, préfigurant la théologie de la libération est un habile montage copié de l'Action catholique et nourri de toute la subversion pré-conciliaire germano- belgo- française dès 1947. Ce ferment se développera au Concile et explosera après !

NOTE : Le lecteur peu au courant peut penser que nous exagérons cette relation. Avec l'Action Catholique. Voici une citation d'une étude du père Scannone, parue dans la Revista Medellin,volume 9, n°34 pp. 259-288 : 1983)

La Teologia de la Liberacion, Caracterizacion, Corrientes, Etapas

Surgimiento de la Teologia de la Liberacion (TL : théologie de la libération)

 

« Depuis le milieu de la décade des années 60 a eu lieu la conjonction d'une série de circonstances qui favorisèrent la naissance de la TL. Le Concile Vatican II a montré non seulement une ouverture de l’Église au monde d'aujourd'hui, mais – à travers la Constitution Gaudium et Spes – montré d'une manière distincte et cadrer théologiquement, la réalité de la devise ( el ritmo) « voir, juger ,agir »...

Dans le même document page 286 Scannone comprend parfaitement les dérives des libérationnistes : « … quand on parle « d'ecclésiogénèse » , celles des communautés de base qui réinventent l’Église ou de « résurrection de la véritable Église », ces expressions ne veulent pas nier la continuité de la foi avec l’Église de toujours mais veulent signaler une rupture avec les formes historiques de transmettre et de comprendre l’Église. » 

La conclusion est péremptoire . « Au contraire Puebla (l'assemblée) n'a pas voulu se prononcer à propos de la TL elle-même. Mais elle n'a pas cessé pour cela d'employer la méthode « voir, juger, agir ».

 

 

En 2012, Carolina Bacher Martinez du centre d'Etudes salésiennes de Buenos Aires de l'université catholique d 'Argentine publie une étude / Considérations sur le sujet , l'objet et la méthode d'une théologie pastorale. On lit :

«  Points de départ

« Dans le cadre de la réflexion sur la méthode à partir du triptyque Voir-Juger-Agir cela ne nécessite aucune présentation entre nous. Cette proposition surgie des pratiques communautaires de la Jeunesse Ouvrière Catholique (JOC) a été assumée progressivement par les théologies et utilisée par le Magistère Universel notamment dans la Constitution Gaudium et Spes ce qui est une date marquante ».

La mode en Europe est à la sociologie (Gabriel Lebras 1931). Elle vise à réformer l'importance des paroisses au bénéfice des mouvements d'action catholique. Les enquêtes du père Lebret et de la revue Economie et humanisme et surtout celles des abbés Godin et Daniel (après guerre), celle du chanoine Verscheure à Lille et celle du belge Houtard (que nous retrouverons à Cuba avec Fidel Castro), sont l'origine indiscutable de la pratique libérationniste latino-américaine !

La sociologie devient un procédé pour mettre en cause la structure ecclésiale et le dogme. Elle est l'équivalent de la méthode historique et dialectique de Marx. Elle sert à libérer le pauvre peuple de Dieu qui veut sa libération du « constantinisme », comme le déclare « La carta del Padre Arrupe : Requiem por el Constantinismo » ( Editorial Nova Terra -1967).

Et Leonardo Boff pourra proclamer que la théologie de la libération ne doit rien à Karl Marx ! Son livre Y la Iglesia se hizo pueblo, Et l’Église s'est faite peuple ; « Ecclesiogenesis . La Iglesia que nace de la fe del pueblo » (L'Eglise qui naît de la foi du peuple ), rejoint en tous points la théologie du peuple du père Bergolio en 1974 . Et aujourd'hui la « théologie contextuelle ».

Mais ce sont bien des acteurs catholiques issus du progressisme européen qui sont les vecteurs principaux de la révolution politique et sociale partout en Amérique Latine. Dans la guérilla salvadorienne c'est un prêtre belge qui célèbre une messe qui se termine par un chant révolutionnaire en 1986

 

II § - L'apport des sciences humaines.

 

Le résumé de JCS cite les transformations comparables à celles que la France a connues avec Marc Sangnier et l'évangélisation des masses par l'ACO, la JEC la JOC etc...

« Dans l'Argentine « la sociologie religieuse » post conciliaire se posa la question du « catholicisme populaire »,. La sociologie de la sécularisation...utilisa l'opposition entre « religion de masse »(celle de Bergoglio). et la « religion de l'élite ». Deux clergés se font face : celui du peuple, péroniste et ….le clergé, moqué par Bergoglio, celui qui travaille à l'évangélisation , l'instruction, le catéchisme et les sacrements.

JCS ajoute que A.Bünting et d'autres sociologues « revalorisaient … le catholicisme populaire argentin ...comme une inculturation d'une religion universelle, ... capable de porter des valeurs évangéliques et - en connexion avec cette virtualité- comme facteur potentiel de libération historique ».

Ce schéma correspond exactement au polyèdre de l'archevêque Bergoglio ! Il ne cessera pas d'exploiter. dialectique

Cette nouvelle sociologie entraîne, toujours selon Scanonne, une critique et une modification ..., de la sociologie religieuse, en s'inspirant aussi de perspectives empruntées aux sciences historiques, à l'anthropologie culturelle et -surtout – à la pratique et à la réflexion pastorale ».

Derrière cette incroyable pathos se cache la grande révolution qui va ruiner – ou presque – la catholicisme latino-américain

 

III §- La pratique de la pastorale populaire

 

« Cette école, que fut le contact avec le peuple, en même temps que la réflexion théologique -portant surtout sur l'ecclésiologie- et les orientations doctrinales de l’Église, permirent à la pastorale en Argentine de devenir réellement pastorale et populaire, sans perdre son esprit évangéliquement prophétique et en se dégageant des risques de l'élitisme (libéral aussi bien que marxiste) hérité de l'esprit des lumière et du danger - qui fut réel - de se laisser prendre par une dialectique de lutte des classes transposée au sein de l'Eglise. »

Derrière cette littérature convenue on découvre ce qui deviendra l' Église du « pape » : les formules méprisantes, qu'il utilisera :« indiétrisme », « le petit groupe d'idéologues. ».., et le multiculturalisme religieux...

 

IV § - La théologie de la pastorale populaire.

 

Cette dernière partie est une description de la naissance de la théologie du peuple. «  La compréhension des termes « peuple et « populaire » est la forme argentine de la théologie de la libération. ...ces notions nouvelles... ont su résister à la domination ... et mieux préserver les valeurs chrétiennes d'une culture née du métissage culturel originel.

La fameuse liturgie amazonienne est sortie de ce soi-disant métissage  ! (voir notre livre pages 261 et suivantes)

 

Une réflexion théologique inculturée

Cette synthèse de JCS, absolument remarquable confirme ce que nous voyons aujourd'hui : Le Peuple de Dieu devient le Peuple de Dieu des peuples. Ce QUI DONNE NAISSANCE A UNE ECCLESIOLOGIE INCULTUREE :  déduction logique de la nouvelle compréhension du peuple de Dieu :chaque peuple est une forme analogique du Peuple de Dieu qui les contient tous.

Nous avons déjà exposé la suite de cette théologie puisqu'elle est la première expression de la théologie contextuelle devenue la règle imposée par « le pape » le 1er novembre dernier lors de la modification des statuts de l'Académie pontificale de théologie par le motu proprio, Ad theologiam promovendam.

 

 

 

 

À suivre

 



05/02/2024
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