Le Terrorisme pastoral

Le Terrorisme pastoral

Evêque c’est par toi que je meurs - 19 et fin

(Analyse du Synode de Rouen : relire la partie 1, la partie 2, la partie 3, la partie 4, la partie 5, la partie 6, la partie 7, la partie 8, la partie 9, la partie 10, la partie 11, la partie 12, la partie 13, la partie 14, la partie 15, la partie 16, la partie 17, la partie 18)

 

Avant de poursuivre notre interrogation sur la religion de Mgr Stenger, nous devons clore notre étude sur le synode de Rouen dont une actualité chargée à propos du CCFD, nous a éloigné.

Nous achevons ce travail avec une grande confiance dans la Providence car si nous avons au long de cette vingtaine d’analyses démontré la formidable manipulation d’un quarteron de prêtres et de laïcs rompus à la lutte révolutionnaire, c’est Benoît XVI lui-même qui s’est adressé à eux lors de son homélie de la messe chrismale. Certes, il a paternellement admonesté les  prêtres autrichiens et allemands mais les Français signataires n’ont pas pu ne pas recevoir le message.  Nous le donnons ci-après in extenso. Il n’y a rien à ajouter et gageons que l’archevêque de Rouen, Mgr Descubes, aujourd’hui en pèlerinage à Rome, a reçu avec  zèle cette instruction et l’a communiquée à tous ses prêtres.

(La dernière partie de notre analyse suit le texte de l’homélie.)

 

"HOMÉLIE DU PAPE BENOÎT XVI, Basilique vaticane, Jeudi Saint, 5 avril 2012

 

Chers frères et sœurs!

 

En cette messe nos pensées se tournent vers le moment où l’Évêque, par l’imposition des mains et la prière, nous a fait entrer dans le sacerdoce de Jésus Christ, de sorte que nous soyons « consacrés dans la vérité » (Jn 17, 19), comme Jésus, dans sa Prière sacerdotale, a demandé pour nous à son Père. Il est lui-même la Vérité. Il nous a consacrés, c’est-à-dire remis pour toujours à Dieu, afin que, à partir de Dieu et en vue de lui, nous puissions servir les hommes. Mais sommes-nous aussi consacrés dans la réalité de notre vie ? Sommes-nous des hommes qui agissons à partir de Dieu et en communion avec Jésus Christ ? Avec cette question le Seigneur se tient devant nous, et nous nous tenons devant lui. « Voulez-vous vivre toujours plus unis au Seigneur Jésus et chercher à lui ressembler, en renonçant à vous-mêmes, en étant fidèles aux engagements attachés à la charge ministérielle que vous avez reçue au jour de votre Ordination sacerdotale ? » C’est ainsi qu’après cette homélie, j’interrogerai individuellement chacun de vous et aussi moi-même. Par là, deux choses s’expriment surtout : ce qui est demandé c’est un lien intérieur, ou mieux, une configuration au Christ, et en ceci nécessairement un dépassement de nous-mêmes, un renoncement à ce qui est seulement nôtre, à la si vantée autoréalisation. Il est demandé que nous, que moi, je ne revendique pas ma vie pour moi-même, mais que je la mette à la disposition d’un autre – du Christ. Que je ne demande pas : qu’est-ce que j’en retire pour moi ?, mais : qu’est-ce que je peux donner moi pour lui et ainsi pour les autres ? Ou encore plus concrètement : comment doit se réaliser cette configuration au Christ, lequel ne domine pas, mais sert ; il ne prend pas, mais il donne – comment doit-elle se réaliser dans la situation souvent dramatique de l'Église d’aujourd’hui ? Récemment, un groupe de prêtres dans un pays européen a publié un appel à la désobéissance, donnant en même temps aussi des exemples concrets sur le comment peut s’exprimer cette désobéissance, qui devrait ignorer même des décisions définitives du Magistère – par exemple sur la question de l’Ordination des femmes, à propos de laquelle le bienheureux Pape Jean-Paul II a déclaré de manière irrévocable que l’Église, à cet égard, n’a reçu aucune autorisation de la part du Seigneur. La désobéissance est-elle un chemin pour renouveler l’Église ? Nous voulons croire les auteurs de cet appel, quand ils affirment être mus par la sollicitude pour l’Église ; être convaincus qu’on doit affronter la lenteur des Institutions par des moyens drastiques pour ouvrir des chemins nouveaux – pour ramener l’Église à la hauteur d’aujourd’hui. Mais la désobéissance est-elle vraiment un chemin ? Peut-on percevoir en cela quelque chose de la configuration au Christ, qui est la condition nécessaire de tout vrai renouvellement, ou non pas plutôt seulement l’élan désespéré pour faire quelque chose, pour transformer l’Église selon nos désirs et nos idées ?

 

Mais ne simplifions pas trop le problème. Le Christ n’a-t-il pas corrigé les traditions humaines qui menaçaient d’étouffer la parole et la volonté de Dieu ? Oui, il l’a fait, pour réveiller de nouveau l’obéissance à la vraie volonté de Dieu, à sa parole toujours valable. La vraie obéissance lui tenait justement à cœur, contre l’arbitraire de l’homme. Et n’oublions pas : il était le Fils, avec l’autorité et la responsabilité singulières de révéler l’authentique volonté de Dieu, pour ouvrir ainsi la route de la parole de Dieu vers le monde des gentils. Et enfin : il a concrétisé son envoi par sa propre obéissance et son humilité jusqu’à la Croix, rendant ainsi sa mission crédible. Non pas la mienne, mais ta volonté : c’est la parole qui révèle le Fils, son humilité et en même temps sa divinité, et qui nous indique la route.

 

Laissons-nous interroger encore une fois : est-ce qu’avec de telles considérations n’est pas défendu, en fait, l’immobilisme, le durcissement de la tradition ? Non. Celui qui regarde l’histoire de l’époque post-conciliaire, peut reconnaître la dynamique du vrai renouvellement, qui a souvent pris des formes inattendues dans des mouvements pleins de vie et qui rend presque tangibles la vivacité inépuisable de la sainte Église, la présence et l’action efficace du Saint Esprit. Et si nous regardons les personnes, dont sont nés et naissent ces fleuves frais de vie, nous voyons aussi que pour une nouvelle fécondité il est nécessaire d’être remplis de la joie de la foi ; sont aussi nécessaires la radicalité de l’obéissance, la dynamique de l’espérance et la force de l’amour.

 

Chers amis, il reste clair que la configuration au Christ est la condition nécessaire et la base de tout renouvellement. Mais peut-être que la figure du Christ nous apparaît parfois trop élevée et trop grande, pour pouvoir oser en prendre les mesures. Le Seigneur le sait. C’est pourquoi, il a pourvu à des « traductions » dans des ordres de grandeur plus accessibles et plus proches de nous. Pour cette raison justement, Paul sans timidité a dit à ses communautés : imitez-moi, mais j’appartiens au Christ. Il était pour ses fidèles une « traduction » du style de vie du Christ, qu’ils pouvaient voir et à laquelle ils pouvaient adhérer. À partir de Paul, tout au long de l’histoire il y a eu continuellement de telles « traductions » du chemin de Jésus en figures historiques vivantes. Nous prêtres nous pouvons penser à une grande foule de saints prêtres, qui nous précèdent pour nous indiquer la route : à commencer par Polycarpe de Smyrne et Ignace d’Antioche, en passant par les grands pasteurs comme Ambroise, Augustin et Grégoire le Grand, jusqu’à Ignace de Loyola, Charles Borromée, Jean-Marie Vianney, jusqu’aux prêtres martyrs du vingtième siècle et enfin jusqu’au Pape Jean-Paul II qui dans l’action et dans la souffrance nous a été un exemple dans la configuration au Christ, comme « don et mystère ». Les saints nous indiquent comment fonctionne le renouvellement et comment nous pouvons nous mettre à son service. Et ils nous font aussi comprendre que Dieu ne regarde pas aux grands nombres et aux succès extérieurs, mais rapporte ses victoires dans l’humble signe du grain de moutarde.

 

Chers amis, je voudrais encore brièvement m’arrêter à deux mots-clés du renouvellement des promesses sacerdotales, qui devraient nous pousser à réfléchir en ce moment de la vie de l'Église et de notre vie personnelle. Il y a avant tout le souvenir du fait que nous sommes – comme s’exprime Paul – « intendants des mystères de Dieu » (1 Co 4, 1), et que nous incombe le ministère de l’enseignement, le (munus docendi), qui est une partie de cette intendance des mystères de Dieu, où il nous montre son visage et son cœur, pour se donner lui-même à nous. Dans la rencontre des Cardinaux à l’occasion du récent Consistoire, divers Pasteurs, sur la base de leur expérience, ont parlé d’un analphabétisme religieux qui se répand dans notre société si intelligente. Les éléments fondamentaux de la foi, que dans le passé chaque enfant connaissait, sont toujours moins connus. Mais pour pouvoir vivre et aimer notre foi, pour pouvoir aimer Dieu et donc devenir capables de l’écouter de façon juste, nous devons savoir ce que Dieu nous a dit ; notre raison et notre cœur doivent être touchés par sa parole. L’Année de la foi, le souvenir de l’ouverture du Concile Vatican II, il y a 50 ans, doivent être pour nous une occasion d’annoncer le message de la foi avec un zèle nouveau et avec une nouvelle joie. Naturellement, nous le trouvons de manière fondamentale et essentielle dans la Sainte Écriture, que nous ne lirons et méditerons jamais assez. Mais en cela nous faisons tous l’expérience d’avoir besoin d’aide pour la transmettre avec rectitude dans le présent, afin qu’elle touche vraiment notre cœur. Cette aide nous la trouvons en premier lieu dans la parole de l’Église enseignante : les textes du Concile Vatican II et le Catéchisme de l’Église catholique sont des instruments essentiels qui nous indiquent de manière authentique ce que l’Église croit à partir de la Parole de Dieu. Et naturellement en fait partie aussi tout le trésor des documents que le Pape Jean-Paul II nous a donné et qui est encore loin d’avoir été exploité jusqu’au bout.

 

Toute notre annonce doit se mesurer sur la parole de Jésus Christ : « Mon enseignement n’est pas le mien » (Jn 7, 16). Nous n’annonçons pas des théories et des opinions privées, mais la foi de l’Église dont nous sommes des serviteurs. Mais ceci naturellement ne doit pas signifier que je ne soutiens pas cette doctrine de tout mon être et que je ne suis pas fixé solidement en elle. Dans ce contexte me vient souvent à l’esprit la parole de saint Augustin : qu’est ce qui est aussi mien que moi-même ? qu’est-ce qui est aussi peu mien que moi-même ? Je ne m’appartiens pas à moi-même et je deviens moi-même justement par le fait que je vais au-delà de moi-même et par le dépassement de moi-même je réussis à m’insérer dans le Christ et dans son Corps qui est l’Église. Si nous ne nous annonçons pas nous-mêmes et si intérieurement nous sommes devenus tout un avec Celui qui nous a appelés comme ses messagers si bien que nous sommes modelés par la foi et que nous la vivons, alors notre prédication sera crédible. Je ne fais pas de la réclame pour moi-même, mais je me donne moi-même. Le Curé d’Ars n’était pas un savant, un intellectuel, nous le savons. Mais par son annonce il a touché les cœurs des gens, parce que lui-même avait été touché au cœur.

 

Le dernier mot-clé que je voudrais encore évoquer s’appelle le zèle pour les âmes (animarum zelus). C’est une expression démodée qui aujourd’hui n’est presque plus utilisée. Dans certains milieux, le mot âme est même considéré comme un mot prohibé, parce que – dit-on – il exprimerait un dualisme entre corps et âme, divisant l’homme à tort. L’homme est certainement une unité, destiné avec son corps et son âme à l’éternité. Mais ceci ne peut signifier que nous n’avons plus une âme, un principe constitutif qui garantit l’unité de l’homme dans sa vie et au-delà de sa mort terrestre. Et naturellement comme prêtres nous nous préoccupons de l’homme tout entier, justement aussi de ses nécessités physiques – des affamés, des malades, des sans-toit. Toutefois, nous ne nous préoccupons pas seulement du corps, mais aussi des besoins de l’âme de l’homme : des personnes qui souffrent en raison de la violation du droit ou d’un amour détruit ; des personnes qui se trouvent dans l’obscurité à propos de la vérité ; qui souffrent de l’absence de vérité et d’amour. Nous nous préoccupons du salut des hommes dans leur corps et dans leur âme. Et en tant que prêtres de Jésus Christ, nous le faisons avec zèle. Les personnes ne doivent jamais avoir la sensation que nous accomplissons consciencieusement notre horaire de travail, mais qu’avant et après nous nous appartenons seulement à nous-mêmes. Un prêtre ne s’appartient jamais à lui-même. Les personnes doivent percevoir notre zèle, par lequel nous donnons un témoignage crédible pour l’Évangile de Jésus Christ. Prions le Seigneur de nous remplir de la joie de son message, afin qu’avec un zèle joyeux nous puissions servir sa vérité et son amour. Amen."

 

Les derniers  protagonistes

Notre galerie de portraits s’achève. Outre les prêtres dont l’activité subversive dans le diocèse et hors du diocèse ne fait aucun doute- l’un d’eux va jusqu’à soutenir des groupes favorable à l’avortement-, et s’inspire de la théologie de la libération la plus radicale, les laïcs sont eux aussi issus d’un réseau national et international constitué en véritable Contre-Eglise.

En France il s’agit du Réseau des Parvis (http://www.reseaux-parvis.fr) où le président du CCFD développe son idéologie.

Principaux liens : Association culturelle de Boquen, , Bible Terre Mer , Chrétiens aujourd'hui Orléans, Chrétiens de l'Ain en recherche, Chrétiens en Recherche 41, Chrétiens et sida, Coord. Rég. groupes Jonas Alsace, Culture et christianisme Alsace, Culture et Foi – Québec, David et Jonathan, Equipe Nationale de Jonas, Évangile & liberté – Revue, FHEDLES – Femmes et Hommes, Egalité, Droits et Libertés, Dans les Eglises et les Sociétés, Int. Mov. We Are Church, La Bible sur Internet, La Croix.com – Quotidien, Partenia , Le Monde Diplomatique, La Vie - Hebdo. chrétien NSAE - Une église autre, Parvis Grand Ouest, Plein jour , Prêtres Mariés - chemins nouveaux, Réseau Européen Eglises et Libertés, Réforme - Hebdo. Protestant, Solidarité Eglise Liberté Vendée, Témoignage chrétien , Théolib - revue théologique, Théoparvis. (Liste incomplète).

 

Nous avons déjà fait connaissance avec les Réseaux des Parvis (RDP) et l’énumération des liens est significative.

Yves Millou et Henri Couturier signataires de la lettre de soutien aux prêtres révolutionnaires ne figurent pas en tant que tels sur POINT 1, l’antenne rouennaise des Réseaux des Parvis. Leurs noms  figurent  cependant dans RDP encadrés par deux piliers de RDP, Mme Glück et JP Dodelin.

 

HENRI COUTURIER

Voici comment La Vie, le présentait le 27 avril 1997 :

« Une librairie pour débattre

Licence de Théologie et licence de Lettres en poche, enseignant en Vendée, libraire, enfin, à Rouen depuis vingt-deux ans, Henri Couturier préside aux destinées de La Procure, la principale librairie religieuse en Haute-Normandie avec celle d’Evreux. Cet homme de foi réfléchit activement sur l’identité des librairies religieuses : "On est, dit-il, comme une caisse de résonnance de ce qui se passe dans l’Eglise. L’affaire Gaillot, le Jésus, de Duquesne ont provoqué chez nos clients des réactions très différentes et radicales. Dans notre choix de livres, on essaie de ne pas faire de sélection mais cela nous oblige à avoir une grande écoute du client pour lui proposer des pistes." Une librairie sans animation ne serait pas tout à fait une librairie et Henri Couturier s’emploie à faire vivre la sienne avec des débats qui attirent chaque fois un monde fou. Dernier en date : Jean-Baptiste de Foucaud et Jean-Marie Peticlerc sur le thème Une société en quête de sens. Cette année encore, Christian Delorme et Rachid Benzine sont venus dialoguer sur Christianisme et islam, hors des murs de la boutique, au lycée Les Bruyères, à Sotteville-lès-Rouen, devant 120 élèves de seconde. De "grands moments", souligne-t-il. Tout comme la venue d’écrivains, Christian Bobin ou Charles Juliet, récemment, pour des lectures publiques de leurs textes. »

Il se présente aujourd’hui comme libraire retraité. En fait le nombre de ses fonctions dans le diocèse de Rouen en font un des membres de l’appareil dirigeant, un maître « es influence ».

  1. Membre de l’équipe d’animation du Centre Théologique Universitaire (CTU).
  2. Chargé de la formation permanente dans le diocèse.
  3. Chargé de la relecture biblique.
  4. Animateur de dîner-débat « Chrétiens et Citoyens ».
  5. Membre du synode représentant la paroisse Saint-Marc, Rouen-Est.
  6. Animateur de RCF Haute Normandie.
  7. Secrétaire de l’Association culturelle Religieuse Intercommunautaire pour la Paix, (ACRIP).
  8. Il a été le relai local pour une manifestation de Témoignage Chrétien …pour le diocèse.

On comprend pourquoi il s’est investi pleinement dans la révolution locale !

Son compèreYves Millou, a également de brillants états de service.

  1. Membre de la commission théologique pour le synode diocésain.
  2. Membre de l’équipe d’animation du Centre théologique Universitaire
  3. Chargé de la formation permanente dans le diocèse
  4. Membre du Conseil Pastoral
  5. Chargé de la Catéchèse des adultes
  6. Il donne la réplique à Henri Couturier sur RCF

Le diocèse de Rouen est plus percé qu’une tranche de gruyère ! A tous les niveaux, de l’archevêque aux laïcs nommés, en passant par une partie du clergé, l’appareil chargé de l’évangélisation appartient à la Contre-Eglise !

Pour faire bonne mesure ajoutons qu’une liste complète des amis de  RDP mentionne la JEC (n°32 de la liste) qui déclare entretenir des liens privilégiés avec RDP et le CCFD. Annie Barbay du diocèse de Rouen a été la première présidente de la Fédération des Parvis en 1999 et est membre du bureau des Parvis. Dans le programme des orientations des RDP pour 2012 on lit : « Continuer à renforcer l’ouverture aux jeunes : JEC et EEUDF (Eclaireuses et éclaireurs unionistes de France) ». (Bulletin de liaison NSAE , n° 19 nov.2011, page 13).

Claire Barbay (sœur  de la précédente ?) a été présidente nationale de la JEC. L’actuelle présidente de la JEC à Rouen, Héloïse Chiron  souscrit-elle, aux orientations des Parvis ?

 

La tempête qui s’est abattue sur le diocèse de Rouen n’est pas apaisée. Qui viendra au secours de ce clergé et de ces fidèles ?



27/04/2012
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