Evidemment je reçois ce témoignage soumis au jugement de l'Eglise !
L’histoire de Gilles Bouhours, le garçon qui, guidé par la Vierge, confirma au Pape Pie XII le dogme de l’Assomption.
Gilles Bouhours est né le 27 novembre 1944 à Bergerac (France). Alors qu’il n’avait que 1 an, il fut miraculeusement guéri, grâce à l’intercession de Sainte Thérèse de l’enfant Jésus. À l’âge de 4 ans, il est porteur d’un message de la Très Sainte Vierge Marie, dans lequel il lui est dit que sa mission est d’aller auprès du Pape Pie XII pour lui transmettre ce que la Vierge lui a communiqué.
Gilles avait beaucoup de piété depuis qu’il était petit, priait pendant de longues heures et on le voyait faire pénitence. Et alors qu’il n’avait que trois ans, un jour, il se tenait devant son père et lui dit : Papa, la Vierge m’a donné un message que je dois transmettre au Pape. Je dois aller le voir.
Voici un texte extrait du site : Spiritualité chrétienne qui explique plus en détail l’affaire.
Gilles Bouhours et les apparitions d’Epsi
La famille Bouhours habite Arcachon. Gilles a deux ans et dix mois. Le 30 septembre 1947, il a sa première apparition de la Vierge Marie. Plusieurs suivent. L’enfant indique que Marie lui a demandé de se rendre à Espis où elle apparaîtrait à d’autres jeunes personnes et qu’ensuite Elle ne se montrerait plus qu’à lui seul.
Son père ignore jusqu’au nom même d’Espis ! Il parvient à localiser l’endroit sur une carte routière : il se trouve près de Moissac. Gabriel Bouhours veut en avoir le coeur net. Il se rend à Espis le plus rapidement possible. C’est la première prise de contact avec les événements de cette localité qui ont joué un rôle évident dans la vie du « petit Gilles » mais qui n’ont pas été sans interférence complexe dans le regard que les autorités ecclésiastiques ont pu porter jusqu’à maintenant sur ces affaires.
Situé dans le département du Tarn-et-Garonne, au diocèse de Montauban, Espis est le lieu, en 1946, d’apparitions de la Vierge. (…). Le 22 août 1946, Claudine et Nadine Combalbert gardent un troupeau d’oies près du bois d’Espis. Elles voient soudainement une « dame vêtue de noir », avec une « robe ornée de marguerites ». Le jour suivant, l’apparition se renouvelle ; une troisième enfant affirme également « voir ». À partir du 31 août suivant, un homme d’une quarantaine d’années allègue également des visions de la Vierge qui aurait déclaré « Je suis l’Immaculée Conception ». (…)
L’année 1949 est riche en événements. Les apparitions se poursuivent à un rythme régulier, soit à Espis, soit ailleurs. La famille Bouhours vit désormais au rythme des manifestations du ciel. Dans l’esprit du jeune enfant, au fil des manifestations mariales, le doute n’occupe aucune place : il doit se rendre à Rome où vit celui qui « remplace le petit Jésus sur la terre » (…)
Au début, le père n’a pas pris l’affaire au sérieux, mais le petit Gilles a persisté dans cette mission pendant deux ans. Et sa mère, par curiosité, lui a demandé quel était le message. La réponse fut immédiate : Maman, le message n’est pas pour toi, il est pour le Pape !
À une occasion, son père lui a demandé : Et Sais-tu qui est le Pape ? Gilles répond : Le Pape est le Pape et je dois transmettre le message de la Vierge !
Les voisins, conscients de ce fait, ont proposé de payer le voyage du garçon et de son père à Rome. Et en 1949, ils sont finalement partis.
Pendant le voyage, M. Bouhours a eu cette pensée : Comment vais-je m’y prendre pour dire : « J’ai besoin d’une audience avec le Pape, mais pas pour moi, mais pour mon fils de 5 ans ? » Et quand ils arrivèrent à Rome, ils allèrent dans un collège français. Au début, personne n’était au courant de leur arrivée qui a eu lieu un mardi.
Le lendemain, un émissaire du pape a demandé à l’entrée du collège, si un enfant de la région de Lourdes y avait séjourné.
Quand le père apprit ce fait, il fut stupéfait. Comment le pape a-t-il appris notre arrivée ? En tout cas, ce fut un soulagement de savoir que l’audience était extraordinairement facilitée.
Première rencontre avec Pie XII
Le 12 décembre 1949, une première rencontre eut lieu à Rome avec le Saint Père en audience semi-privée. Mais, Gilles ne voulut rien dire car son secret ne devait être révélé qu’à Pie XII et à lui seul, la Sainte Vierge le lui avait demandé.
Pourtant il fallait qu’il accomplisse sa mission. Quatre mois plus tard, lors d’une seconde visite au Vatican, alors qu’il n’avait que 5 ans, il put enfin parler seul à seul en audience privée avec le Pape et lui révéler son secret.
« La Sainte Vierge n’est pas morte, Elle est montée au Ciel en corps et en âme »
C’était la confirmation que le Saint Père avait demandé à la Reine du Ciel avant qu’il ne proclame officiellement le dogme de l’Assomption de la Vierge Marie.
Le pape Pie XII avait demandé à Notre-Seigneur un signe surnaturel pour décider de proclamer le dogme de l’Assomption de Marie. Le petit Gilles était le signe que le Ciel donna au Pontife, et ainsi, le 1er novembre 1950, le Dogme de l’Assomption de Notre Mère du Ciel fut proclamé.
La mission de Gilles est réalisée ici-bas. Cependant, de 1950 à 1958, Gilles va continuer de voir la Vierge à intervalles réguliers. Le 13 mai 1950, il annonce « le 13 juin prochain, je dois avoir une robe blanche. Je devrai marcher les pieds nus, comme le petit Jésus, pour la conversion des pécheurs. » Des clichés photographiques ont immortalisé cet instant (photo ci-après).
Dès l’âge de quatre ans, le petit Gilles est autorisé à communier. Sa dévotion à Jésus-Saint-Sacrement était extraordinaire. Dès son plus jeune âge, il exprima également son désir d’être prêtre et missionnaire.
A l’âge de 16 ans, Gilles tombe malade
Le 24 février 1960, à l’âge de 16 ans, Gilles tombe malade, avec un mystérieux engourdissement qu’aucun médecin n’a pu diagnostiquer. Au bout de 48 heures, et après avoir reçu les derniers sacrements, l’adolescent décède. Avant d’expirer, il a dit : « Je vais mourir, mais ne pleure pas. Je suis bien et heureux. » Puis il joignit les mains et pria : « Mon Dieu, je te demande de me pardonner tous mes péchés… Mon Seigneur, Jésus-Christ, Dieu et vrai Homme… »
Il a rendu son âme à Dieu le 26 février 1960, à 6 heures du matin. Sur sa tombe sont gravés ces mots, qu’il a dit lui-même :
Aimez Dieu et la Sainte Vierge. Offrez-leur toutes vos souffrances et ainsi vous retrouverez la paix de l’âme.
La tombe de Gilles Bouhours se trouve au cimetière du village de Seilhan, dans le département de la Haute Garonne, à 4 kilomètres de Montréjeau, sur la route de Saint Bertrand de Comminges.
Spiritualité chrétienne : Un site racontant l’histoire complète.
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