( LifeSiteNews ) — Les femmes qui ont reçu des vaccins contre la COVID-19 étaient « considérablement » moins susceptibles de concevoir des enfants avec succès, selon une étude de données provenant de la République tchèque, ce qui justifie une enquête plus approfondie.

L'étude , qui n'a pas encore été évaluée par des pairs, a été dirigée par le Dr Vibeke Manniche. Elle examine les données de naissance de femmes âgées de 18 à 39 ans, recueillies par l'Institut d'information et de statistique de la santé de la République tchèque (IHIS), entre janvier 2021 et décembre 2023. Les données relatives à la « conception réussie » (définie comme « une conception ayant abouti à une naissance vivante neuf mois plus tard ») ont été comparées aux estimations des taux de natalité mensuels et des taux de vaccination.

« On comptait environ 1 300 000 femmes âgées de 18 à 39 ans en République tchèque, et la proportion de femmes vaccinées a augmenté jusqu'à atteindre un niveau stable d'environ 70 % de l'ensemble des femmes fin 2021 », indique l'étude. Dès juin, l'étude notait :

… le nombre mensuel de SC (conceptions réussies) pour 1 000 femmes était considérablement plus faible chez les femmes vaccinées avant la SC que chez celles qui ne l’étaient pas. Les taux de SC chez les femmes vaccinées avant la SC étaient généralement inférieurs aux prévisions compte tenu de leur proportion dans la population totale de femmes… En juin 2021, une augmentation du taux de SC a été observée chez les femmes non vaccinées avant la SC, et ce taux plus élevé s’est maintenu au cours des six mois suivants. En 2022, les taux de SC se sont stabilisés chez les femmes vaccinées et non vaccinées avant la SC, et l’incertitude des estimations s’est atténuée. Cependant, tout au long de 2022, les taux de SC sont restés environ 1,5 fois plus élevés chez les femmes non vaccinées avant la SC que chez celles qui l’avaient été.

Les auteurs ont conclu que les taux de conception réussie étaient « considérablement plus faibles » chez les femmes vaccinées avant de concevoir que chez celles qui ne l'avaient pas été. Ils mettent en garde contre le fait que la corrélation à elle seule ne permet pas d'établir un lien de causalité avec les vaccins, citant des variables inconnues telles que des « facteurs de confusion non mesurés tels que les facteurs socioéconomiques, les comorbidités, les effets des rappels de vaccination contre la COVID-19, les spécificités de l'infection concomitante à la COVID-19, la fertilité avant la conception, l'utilisation de contraceptifs, les fausses couches, les mortinaissances et le statut vaccinal du père » ; et proposent d'autres explications, comme la corrélation entre la décision des femmes de se faire vacciner ou non et leur désir d'avoir ou non des enfants.

Néanmoins, l'étude s'ajoute à un grand nombre de signes avant-coureurs contre ces vaccins, qui ont été développés en un temps record par l'initiative Operation Warp Speed ​​de la première administration Trump.

Le Système fédéral de déclaration des effets indésirables des vaccins (VAERS) recense , entre autres affections, 38 615 décès, 220 701 hospitalisations, 22 531 crises cardiaques et 29 150 cas de myocardite et de péricardite au 25 avril. Les chercheurs des CDC ont constaté un taux de vérification élevé des signalements de myocardite au VAERS après la vaccination contre la COVID-19 à base d'ARNm, ce qui conduit à la conclusion que la sous-déclaration est plus probable que la surdéclaration.

Français Une analyse portant sur 99 millions de personnes dans huit pays, publiée dans la revue Vaccine, a « observé des risques significativement plus élevés de myocardite après les première, deuxième et troisième doses » de vaccins COVID à ARNm, ainsi que des signes de risque accru de « péricardite, de syndrome de Guillain-Barré et de thrombose du sinus veineux cérébral », et d'autres « signaux de sécurité potentiels qui nécessitent une enquête plus approfondie ». En avril 2024, les Centers for Disease Control & Prevention (CDC) des États-Unis ont été contraints de divulguer par décision de justice 780 000 rapports d'effets indésirables graves non divulgués auparavant, et une étude réalisée au Japon a révélé des « augmentations statistiquement significatives » des décès par cancer après la troisième dose de vaccins COVID-19 à ARNm et a proposé plusieurs théories pour un lien de causalité.

En janvier, un rapport très attendu du grand jury de Floride sur les fabricants de vaccins contre la COVID a révélé que même si seul un pourcentage infime des millions de vaccinations a entraîné des dommages graves sur la base des données auxquelles il avait accès, de tels événements se produisent et il existe des « problèmes profonds et sérieux » dans le processus d'examen des sociétés pharmaceutiques, notamment la réticence à partager les preuves d'événements indésirables qu'elles ont trouvées.

La semaine dernière, le commissaire de la Food & Drug Administration (FDA) des États-Unis, le Dr Marty Makary, et le responsable des vaccins, le Dr Vinay Prasad, ont co-écrit un article annonçant de nouveaux essais de sécurité avant de futures recommandations de vaccins contre la COVID-19, mais ils prévoyaient également de continuer à recommander les vaccins pour toutes les personnes de plus de 65 ans et pour la plupart des enfants et des adultes présentant un large éventail de « facteurs de risque ». Le secrétaire à la Santé et aux Services sociaux, Robert F. Kennedy Jr., a ensuite annoncé qu'ils retiraient les recommandations pour les enfants en bonne santé ou les femmes enceintes en bonne santé de recevoir le vaccin.