Le Terrorisme pastoral

Littérature et histoire

A quatre mois d'intervalle,le pape publie deux lettres :

Lettre sur le rôle de la littérature (17 juillet 2024) et Lettre sur le renouvellement de l'étude de l'histoire de l’Église (21 novembre 2024).

La lettre sur l'histoire est fort troublante car il apparaît que le pontife a oublié qu'il bénéficie

de l'histoire frelatée qu'il dénonce . Soyons précis :

« Aujourd'hui, nous avons un déferlement de mémoires, souvent fausse, artificielles, voire mensongères , et en même temps une absence d'histoire et de conscience historique dans la société civile et même dans nos communauté chrétiennes. Tout s'aggrave encore si l'on pense aux histoires préfabriquées, soigneusement et secrètement , qui servent à construire des mémoires ad hoc, des mémoires identitaires e des mémoires d'exclusion. Le rôle des historiens et la connaissance de leurs travaux sont aujourd'hui décisifs et peuvent être l'un des antidotes pour lutter contre ce régime mortifère de haine qui repose sur l'ignorance et les préjugés. »

Notre réponse est simple.

Nous avons apporté sur ce blog la preuve que la visite du pape à Marseille a montré son ignorance de l'histoire de la Méditerranée.

Cet espace maritime depuis la conquête islamique a été le lieu d'un des plus grands trafique d'esclaves de l'histoire de l'humanité.

Bergoglio a aussi oublié de parler de la bataille de Lépante qui a sauvé la Chrétienté et du manchot de Lépante,... Cervantès.

Il a omis de dire que la prise d'Alger en 1830 a stoppé l'esclavage en Méditerranée !

Il a omis de dire quels ont été les innombrables religieux martyrs qui devenaient esclaves volontaires pour libérer de pauvres chrétiens.

Cette Chrétienté -là … il l'ignore !

Il ne connaît pas l'histoire de l 'Église catholique d'hier. ...et tait celle d'aujourd'hui qu'il ne peut pas ignorer !

Dans notre livre « François, la conquête du pouvoir » nous avons donné toutes les informations sur la rencontre de RIO en 1964, en plein Concile, qui a lancé l'organisation continentale de la théologie de la libération. Je donne tous les noms et le partage des destinations. Le professeur jésuite de Bergoglio - qui va le faire nommer provincial en 1973 - déclarera : « C'est là que tout a commencé » ! 

Dans le même livre, pages 289 et suivantes je consacre un chapitre à l'arnaque politicienne des « quatre principes ». Vaste escroquerie que Bergoglio nous servira dans sa première encyclique...en oubliant qu'ils appartiennent à l'organisation du parti péroniste !

Pas un commentaire dans la presse conciliaire servile !

A suivre