Le Terrorisme pastoral

Le Terrorisme pastoral

François au-delà de l'homosexualité

 

 

L'association AGEDO FOGGIA créée en 2010, a pour objet la lutte contre l'homophobie, la valorisation des personnes principalement celles de la population LGBT. Pour cela elle intervient dans les écoles et participe à l'Europride de Rome, à la gay pride de Barletta et à celle de Palerme.

Il s'agit de faire accepter aux parents et à la société les orientations sexuelles les plus diverses en pratiquant la culture du respect des différences humaines.

Cette association a été fondée entre-autres par deux prêtres, Michele de Paolis et Dino d'Aloia. Elle est a-confessionnelle.

 

Peu de temps avant de mourir , le père de Paolis a concélébré une messe avec le pape à sainte Marthe.

 

Après, "qui suis-je pour juger?", les affaires américaines, argentines que l'archevêque Bergoglio ou le pape a couvertes; après le refus de voir la vérité au Chili et de donner, comme un régent de collége, un punition générale à tous les évêques ; après la méprisable assemblée de Rome sur la pédophilie, un réflexion s'impose.

 

Le problème n'est pas de savoir si le père de Paolis est homosexuel. Le problème est que le pape a concélébré avec lui et donc qu'ils ont ensemble prononcé les paroles de la consécration. Le pape ne pouvait pas ne pas connaître celui qui concélèbrait avec lui.

Dans quel gouffre abyssal sommes nous tombés ! Le prêtre qui enseigne aux hommes à se complaire dans leur péché et celui qui accepte cette abomination et la cautionne dans l'acte le plus élevé , le saint sacrifice de la messe, sont-ils dignes d'anathème ?

Y a-t-il parmi nous un Daniel pour crier  que nous ne partageons pas les crimes du pontife ?

 

(ci-après les documents publiés par José Robinson)

 

 

 

"Dans l’Eglise de Dieu tout le monde n’est pas malade d’homophobie" Michele de Paolis

 

Mettons-nous dans la peau d’un gars ou d’une fille qui se découvre homosexuel. Peut-être ont-ils déjà vécu l’expérience amère du rejet et de la moquerie du groupe de leurs propres camarades.

Cependant ils sentent fort en eux un désir de vie spirituelle, le désir d’en apprendre davantage au sujet de Jésus et de l’Evangile, mais ils se heurtent au mur de caoutchouc de prêtres ou de religieux qui les rejettent, considérant leur situation comme « péché » ou « contre nature ». Que faire ?

Je conseille à ces jeunes amis de prendre courage, parce que tout le monde, dans la sainte Eglise de Dieu, n’est pas malade d’homophobie.

Ce n’est pas vrai que vous êtes dans le péché, parce que Dieu vous aime et il a mis en vous cette tendance : c’est un don qu’il vous a fait. C’est votre « nature », qui doit être acceptée et respectée.

Vous n’êtes pas malades, vous n’avez pas à « guérir » de cette tendance.

 

"Dans l’Eglise de Dieu tout le monde n’est pas malade d’homophobie" Michele de Paolis

 

 

Vouloir faire de vous des « hétérosexuels » serait vous pousser vers quelque chose de « contre nature » et vous deviendriez des psychopathes malheureux.

Nous devons nous mettre en tête que Dieu, notre Père, veut que nous, ses fils, nous soyons heureux, que nous grandissions dans la joie, faisant fructifier tous les dons que Lui a mis dans notre « nature » !

Dieu veut que vous fassiez grandir votre personne dans un réseau de relations empreintes d’amour vrai, d’« agapè », c’est-à-dire d’amour comme don joyeux.

Vous avez le droit de chercher un partenaire qui partage avec vous des relations de cette qualité. Soyez tranquilles : là où est l’agapè est Dieu. Vivez l’amour avec joie.

Et nous devons avoir patience envers notre mère l’Eglise. Son attitude avec les homosexuels va changer. Déjà sont nées de nombreuses initiatives en ce sens.

 

"Dans l’Eglise de Dieu tout le monde n’est pas malade d’homophobie" Michele de Paolis

 

En Italie, des groupes d’homosexuels chrétiens ont des contacts occasionnels avec les diocèses, empreintes généralement de cordialité. Parfois, l’évêque local nomme un responsable diocésain pour ce type de dialogue.

Par exemple, à Turin, les délégués diocésains pour le dialogue avec les groupes de croyants homosexuels sont don Walter Danna et don Ermis Segatti.

A Turin a été récemment constitué un Centre de documentation sur la foi et l’homosexualité intitulé « Ferrucio Castellano »*. D’autres groupes ont développé des partenariats avec des diocèses. Cette approche a été réaffirmée par le président de la CEI le cardinal Angelo Bagnasco, quand, parlant des homosexuels, il a déclaré que l’Eglise travaille avec « l’esprit et la pratique d’un accueil total et convivial de toutes les personnes ».

Les réunions de groupe ont généralement lieu en deux parties. La première présente un thème biblique, et suit une discussion basée sur des expériences personnelles. Dans la seconde partie nous prions ensemble.

A Emmaüs personne n’est rejeté ou retiré de la communion avec Jésus.

 

"Dans l’Eglise de Dieu tout le monde n’est pas malade d’homophobie" Michele de Paolis

 

Le 6 mai 2014, le pape François vient concélébrer l'Eucharistie avec le prêtre Michele de Paolis et lui embrasse la main, tout un symbole.

Peu de temps auparavant il avait déclarer à propos des homosexuels :

"Qui sommes nous pour juger".

 

"Dans l’Eglise de Dieu tout le monde n’est pas malade d’homophobie" Michele de Paolis"Dans l’Eglise de Dieu tout le monde n’est pas malade d’homophobie" Michele de Paolis

 

 

 

 

 



02/03/2019
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