Lettre inutile pour un président qui assassine la France
Inutile lettre ouverte au président de la république
D’ Alexis Arette Paysan à Momas 64230
Combattant volontaire parachutiste,
Ancien chef de la 3 ième section vietnamienne,
Au commando 9 du nord Vietnam.
Invalide de guerre. Médaille militaire.Légion d’honneur
Monsieur le Président,
J’ai été déclaré suspect de racisme, d’incitation à la guerre civile, et d’autres choses imprécises, mais du même genre, par ce qu’on appelle la Justice dans les Pyrénées Atlantiques .
Je reconnais m’être opposé par mes paroles et par mes écrits, au régime qui n’a pas su protéger madame Monfermé de l’égorgement rituel , et je ne suis donc raciste que si ce régime est une race.
Je dois ajouter, que je suis le seul survivant du « Comité Béarn-Bigorre pour l’Algérie Française » présidé par le général Lanusse, et qui s’employa à accueillir et à fournir un travail à nos harkis qui avaient réussi à fuir le génocide, après que notre République les eut désarmés pour cela . Autrement dit, je me perds un peu, dans la conception qu’a du racisme votre république, car il fut un temps ou le citoyen De Gaulle disait à Soustelle qui me l’a rapporté, au sujet des magrébins : «Mais enfin Soustelle, ces gens-là ne sont pas comme nous ! » Il se trouve qu’un ancêtre de Monsieur Moussa Darmanin a prouvé le contraire !
Certes je sais que mes juges et mes délateurs, répondront au tribunal du dernier jour, et peut être même avant, mais ce n’est pas de ce détail que je voulais vous entretenir. C’est relayée par la presse, la visite que vous fîtes dans la boulangerie de Monsieur Montfermé entré dans le veuvage grâce à une « chance pour la France ». Je ne sais pas si vous avez ajouté à vos condoléances l’achat de quelques baguettes Bio, ou de quelques Ali- babas au fondu praliné, car la presse ne s’est pas étendue sur le sujet. Je ne puis donc que supposer la réaction de Monsieur Monfermé par la réaction que j’aurais eu dans le même cas. En me contenant, je vous aurais fermé la porte sur le nez, et j’aurais désinfecté la pièce. Mais le contraire a pu être vrai, car tous les gens n’ont pas mon intolérance. De ceux-là De Gaulle a dit : « La plus grande dévotion ne peut pas empêcher que les affaires soient les affaires ! »
Or, c’est probablement contre l’affairisme actuel de l’Etat qu’ont voulu réagir un certain nombre d’anciens soldats, de deuxième classe à général. Certes, ils n’ont fait que répéter ce qu’avec mes camarades de combat, je répète depuis 7O ans, et ce que, dans un éclair de conscience, votre Ministre de l’intérieur, Monsieur Collomb avait re-répété, après avoir été votre premier soutien ! C’était que pour nous éviter un jour de nous trouver face à face avec ceux qui projettent d’islamiser le pays, il fallait faire ce que vous ne faites pas.
Bien sur immédiatement sont montés au créneau pour vous défendre ceux et celles qui craignent de perdre en vous perdant, les faveurs du régime. Celle qui s’est particulièrement distinguée, dans la crainte de perdre son fric a été bien sur la ministre de vos armées qui faute d’actes intelligents, a produit des bruits indécents avec sa bouche, pour tenter de faire une pétroleuse de Marine le Pen . Et si Brassens a pu chanter avec génie qu’ « il, y a peu de chances qu’on, détrône le roi des cons », Madame la ministre m’a fait découvrir, qu’il serait bienséant qu’on détrône, au plus vite la reines des connes !
Mais mon ressentiment va plus loin car, monsieur le Premier ministre, que je ne tenais que pour un léger abruti, s’est surpassé dans une série impressionnante d’imbécilités insultantes et tellement ridicules que j’ai eu honte pour la Gascogne d’avoir sous-produit cet être absurde. Il n’a été dépassé dans l’outrance que par monsieur Darmanin qui, dans son extrême jeunesse aurait entendu un bruit de bottes du coté du Front national. Personnellement je n’ai pas quitté ce parti en bon termes avec Le Pen, mais si je connais ses défauts, je dois dire, que jamais je n’ai entendu de bruit de bottes dans son projet. Monsieur Darmanin doit avoir une ouïe supérieure à la moyenne. C’est un privilège que les chiens ont aussi…
Il se trouve que patriote Béarnais et nationaliste Français, je n’ai jamais voté pour Marine le Pen, bien que je partage nombre de ses analyses. Comme je suis également catholique, je me dois d’étudier les textes de ma religion, et j’ai retenu entre autres, la prophétie de Pie XII qui annonçait sous les coups de l’immoralité politique en France, ses tragiques conséquences. Mais ce qu’il annonçait aussi c’était une réaction populaire qui nous ferait changer de régime « sans douceur » !. J’insiste sur le terme, « sans douceur », car dans le langage ecclésial , il peut cacher le pire.
Je pense donc que Marine Le Pen, comme dit-on les 3 quarts des Français, à le droit de craindre ce que Pie XII voyait venir, Mais je pense qu’elle préfèrerait que tout se passe démocratiquement comme le souhaitent mes camarades protestataires, qui comme moi ont appris sous le feu, ce qu’entraine la guerre…
Le bruit a couru, de votre colère, sur la façon dont auraient réagi ceux qui vous doivent tout, et l’art de la politique consiste a savoir changer le fusil d’épaule plutôt que d’exciter l’adversaire en le braquant. Le temps presse, car parmi les prophéties crédibles, il en est une qui prédit le soulèvement de toutes les banlieues en une seule nuit. Il est donc possible que tous les commissariats de France soient investis en même temps ! Quand au quatrain de Nostradamus suivant lequel « Mésopotamie défaillira en France », c'est-à-dire que les Français remporteront le conflit auquel on les oblige, il poursuit que l’ultime bataille se déroulera près de Lyon et que le massacre y sera épouvantable.
A votre place monsieur le Président je me poserais la question pour savoir si, ne voulant pas assumer ce que prévoit la loi de la République, il ne serait pas expédiant de démissionner. La réaction des anciens militaires qui vous ont mis en garde, semble prouver qu’un gouvernement de salut public serait encore possible afin de devancer l’insurrection Magrébine !
La balle est dans votre camp, monsieur le président. Traitez-la avec précaution car elle est explosive !
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