Coprophage TERRAS, Horacio VERBITSKY, même combat
Terras le Coprophage, Horacio Verbitski « qui a de la chance », même combat
Le « travail » du coprophage Christian Terras contre le pape François Ier est essentiellement alimenté par le livre d’Emilio Mignone « L’Eglise et la Dictature » paru en 1986. Sous deux titres différents, il reprendra le même sujet en collaboration avec Adolfo Perez Esquivel en 1988 et 1991. Le prix Nobel de la Paix, communiste ami de Fidel Castro a collaboré avec le catholique Mignone pour établir la réalité des crimes de la dictature militaire. Et c’est lui qui témoigne en faveur de François Ier !
Dans sa rage de nuire et de salir l’homme et la fonction, Terras le Coprophage n’a pas retenu la collaboration, ni le témoignage de Pérez Esquivel.
Encore moins celui du jésuite toujours vivant.
El jesuita quitó responsabilidad a Francisco. | Foto: AFP
« Ce sont les faits. Orlando Yorio et moi nous n’avons pas été dénoncés par Bergoglio. » […] Ils ont été séquestrés parce qu’ils étaient en relation avec une catéchiste qui avait travaillé avec eux et avait ensuite rejoint la guérilla. « Durant neuf mois elle a disparu ; mais deux ou trois jours après son arrestation nous étions nous aussi arrêtés. Le fonctionnaire qui m’a interrogé m’a demandé mes papiers. Quand il a vu que j’étais né à Budapest, il a cru que j’étais un espion russe ». (Perfil.com, 21 mars 2013)
Telle est la vérité.
Les accusations contre l’Eglise argentine et François Ier ont fait l’objet d’un deuxième récit, celui de Horacio Verbitski, dans « Le Silence », paru en 2000. Verbitski inonde actuellement la presse d’articles plus venimeux les uns que les autres.
Emilio Mignone mort en 1998 est le fondateur du Centre d’Etudes Légales et Sociales, présidé aujourd’hui par Verbitski. Ce Centre est financé par la Fondation Ford.
Mignone a, dans son livre, tenté de régler ses comptes avec l’Eglise catholique dont il avait été un laïc actif après qu’une de ses filles enlevées par les militaires durant la dictature, a disparu. Il est devenu le héraut et le leader incontesté des droits de l’homme en Argentine.
Horacio Verbitski est considéré comme « le détracteur principal » du pape François Ier par la presse argentine catholique.
Ce directeur du quotidien, Pàgina 12, totalement inconnu en France a fait l’objet d’un article très documenté de Argentinos Alerta intitulé, « L’obscure passé de Verbitski ». Il n’est pas inintéressant de voir d’où sort cet accusateur numéro UN du nouveau pape. Il est une des références de Coprophage Terras : « A l’époque Bergoglio déclarait que ces accusations visaient à discréditer sa candidature comme papabile. Dans une biographie très documentée du cardinal, avec des preuves à l’appui, Horacio Verbitsky en a établit la véracité » (Golias, 14 mars 2013).
Le témoin de Coprophage Terras
Né en 1942 il commence sa carrière de journaliste à dix-huit ans grâce à son père journaliste communisto-peroniste. Journaliste de profession, il s’est illustré alors qu’il était rédacteur en chef de « Confirmado », dans une campagne de presse» qui a entraîné la chute du Président Arturo Ilia en 1966 en faveur du général Ongania. A cette époque Verbitski choisit l’armée contre un élu du Parti civique radical du peuple. Il sera récompensé par un poste de chef de rubrique dans « La Hipotenusa », la revue du Secrétariat Général de la présidence du général qu’il a contribué à porter au pouvoir,
C’est là que tout commence pour le « témoin » des crimes de l’Eglise argentine.
Son protecteur, le général Ongania perd le pouvoir en juin 1970. A cette date Verbitsky abandonne les idéaux militaristes pour passer au trotskisme et il s’inscrit aux Fuerzas Armadas Peronistas -FAP (qui ont travaillé à la destitution de Ongania !) où il fait la connaissance de l’écrivain d’origine irlandaise Rodolfo Walsh qui devient son mentor. Cette aventure aux relents péronistes est désavouée par Péron en 1974 peu avant sa mort.
En fait les FAP sont une organisation terroriste. Elle revendique pas moins de 12 attentats et assassinats pour la seule année 1970 dont l’attaque de la banque allemande Transatlantique (vol de 15 millions de pesos), attentat à la bombe contre le ministère du logement, le 22 janvier 1971, attaque de la banque de Galice (vol de 5 millions de pesos un policier assassiné), le 29 juillet assassinat du maire de Cordoba, Julio Sanmartino. ; 22 janvier 1973, assassinat de deux syndicalistes, Julian Moreno, Leopoldo Deheza,
A cette époque notre trotskyste continue d’écrire dans le journal de la droite libérale « Clarin ». Mieux, il se marie avec une danseuse Laura Sofovich qui n’est autre que la fille du directeur des ventes de « Clarin »… En septembre 1973 Sofovich est séquestré par les FAP et obligent « Clarin » à publier des communiqués révolutionnaires !
Au début de 1973, Walsh et Verbitsky intègrent le mouvement Montoneros qui est le plus important appareil terroriste qui ait jamais existé en Argentine.
Ils sont intégrés avec un rang très élevé dans la hiérarchie de la guérilla et chargés des services de renseignements. Parmi les fonctions spécifiques de ce poste : recherche des personnes à enlever pour rançon, intimidation, chantage, analyses préparatoires pour les attentats et la désignation des cibles. Pendant les dix mois d’existence du journal Montonero « Noticias », Verbitsky écrit des articles appelant à la révolution générale.
En 1974, le groupe terroriste séquestre deux frères, Juan et Jorge Born qui sont à la tête du plus gros négoce de céréales en Argentine. Ils sont libérés contre une rançon de 60 millions de dollars. C’est Verbitsky dont le nom de guerre est « el perro -le chien » qui est chargé de mettre l’argent en sûreté à La Havane par paquets de 5 millions.
Les attentats continuent. Le 15 mars 1976, une bombe explose tuant 17 militaires et six civiles. Les deux complices Rodolfo Galimberti et Daniel Sverko affirmeront que le patron de l’opération était… Verbitsky , aujourd’hui un ultra Kichnerista !
Le 2 juillet 1976 un ancien policier qui avait gardé sa plaque dépose à la cantine de la surintendance de la police une bombe de 9 kilo de TNT et 5 kilo de billes d’acier : 23 morts et 66 blessés. Chef des opérations, Verbirsky : c’est le plus gros attentat de l’histoire de l’Argentine.
En 1977, Verbitsky se rapproche des militaires au point de mettre son nom sur la première page d’un ouvrage sur les forces aériennes argentines écrit par le commandant Juan José Gûilardes.
On le comprendra sans peine, de nombreux ex-guérilleros considère Verbitsky comme un traître et un agent double (et il ne fut pas le seul), d’où son surnom « qui a de la chance ». Il est le seul survivant des 62 opérationnels qui travaillaient pour les services de renseignements Montonero .
Il est maintenant un kirchneriste acharné au service de l’insulte et de la calomnie du pouvoir politique argentin.
Tel est l’informateur de Coprophage TERRAS
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