L'homme, soumis à Dieu, est le summum de la création. La terre a été créée comme une scène sur laquelle les hommes devaient être testés. Ce n'est pas une fin en soi. En parler comme tel est un anthropomorphisme enfantin. L'imputation de caractéristiques humaines telles que la terre «sent» ou la «guérit» conduit à croire que la terre inanimée et la beauté de la nature qui y fleurit a un esprit qui lui est propre. Cela équivaut à une retraite dans le culte païen des choses. 

"Que les hommes meurent pour que la terre puisse renaître", tel est le message implicite dans un article, récemment et brièvement publié sur le site du Vatican, revient à célébrer le sacrifice humain pour apaiser les dieux païens irrités par les abus ou l'inattention de l'homme, dans ce cas la déesse Gaia.

Il est extrêmement triste que le pape François ait encouragé cette vision du monde en parlant de la «terre en crise» ou de la colère, tout en niant que la justice de Dieu inclut la punition de l'enfer si clairement avertie par Notre Seigneur. 

L'Église fondée par le Christ ressuscité, Jésus, croit comme toujours au Jugement dernier et à la Miséricorde de Dieu, qui envoie très certainement des calamités comme avertissements à ses enfants sur terre.